La bulgarie nous restera quasi inconnue tant on a peu rencontré de gens. Dès le premier soir, on s’est vu refuser à tous les coups ou réorienter vers des lieux qui n’existaient pas ou qu’on ne trouvait pas. Et comme on avait la mauvaise habitude de prendre pour acquis se qui se présentait à notre premier jour, il est vrai qu’on a rarement plus insisté les jours suivants. Déjà satisfaits des tas de rencontres faites les mois précédents, on s’est plutôt vu dormir dans des endroits publics et non privés. Ainsi, en Bulgarie, on a été plus entre nous à dormir dans des parcs, à côté de restaurants, d’églises. Les villages étaient souvent assez déserts et les propriétés bien entourées de hauts murs sans sonnette. Je pense que la langue a été un gros frein. Il est vrai que nous n’avons pas vraiment fait d’effort à apprendre le bulgare après deux mois à apprendre quelques mots de serbo-croate et quelques semaines avant d’entrer en Turquie. Je suis sure que là Bulgarie est un pays très interessant mais il est vrai que nous n’avons pas fait plus d’effort pour la découvrir un temps soit peu. Elle recèle apparemment de merveilles dans ses montagnes mais nous avons préféré prendre le chemin le plus court direction Istanbul ce qui fait que la Bulgarie nous aura paru comme le pays traversé le plus rapidement (3 semaines).
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